Voici 2 extraits du fameux épisode des "Cinq dernières minutes" où l'on pouvait retrouver les membres du groupe TNT (avec notamment Farid Medjane).
Biographie de TNT sur le France Metal Museum.
I/ L' inspecteur Menardeau prend un cours de Hard Rock:
II/ Sur scène à la fin de l'épisode:
lundi, octobre 29, 2007
jeudi, octobre 25, 2007
Pub!
Petite piqure de rappel!
ROCK-FORT Show & B.A.S.E. Prod présentent :
PARIS METAL FRANCE FESTIVAL
Dimanche 13 Janvier 2008
de 14h30 à 23h
Paris (75) / La Locomotive
Tarifs : 23€ en prévente - 25€ sur place
Achetez votre place sur Digitick.com ou Fnac.com
Horaires de passage des groupes :*
21h30 - 22h45 ADX
20h05 - 20h50 BLASPHEME
19h00 - 19h45 KILLERS
18h00 - 18h40 NO RETURN
17h15 - 17h45 Still SQUARE
16h30 - 17h00 WITCHES
15h45 - 16h15 DEMON EYES
15h00 - 15h30 ROYAL BUBBLE ORCHESTRA
(*) Ces horaires ne sont donnés qu'à titre indicatif pour la mise en place du festival !
Le myspace du festival: http://www.myspace.com/paris_metal_france_fest
ROCK-FORT Show & B.A.S.E. Prod présentent :
PARIS METAL FRANCE FESTIVAL
Dimanche 13 Janvier 2008
de 14h30 à 23h
Paris (75) / La Locomotive
Tarifs : 23€ en prévente - 25€ sur place
Achetez votre place sur Digitick.com ou Fnac.com
Horaires de passage des groupes :*
21h30 - 22h45 ADX
20h05 - 20h50 BLASPHEME
19h00 - 19h45 KILLERS
18h00 - 18h40 NO RETURN
17h15 - 17h45 Still SQUARE
16h30 - 17h00 WITCHES
15h45 - 16h15 DEMON EYES
15h00 - 15h30 ROYAL BUBBLE ORCHESTRA
(*) Ces horaires ne sont donnés qu'à titre indicatif pour la mise en place du festival !
Le myspace du festival: http://www.myspace.com/paris_metal_france_fest
samedi, octobre 13, 2007
Interview Patrick Bonnifet (Steel Angel)
Interview réalisée par shreut et Duby le 08/10/2007.
Q: Bonjour Patrick, merci de répondre à ces quelques questions. Quand et comment as-tu commencé à pratiquer la guitare?
R: J'avais à peu près 13 ans quand ma soeur m'a offert une guitare electrique a piles avec 4 cordes. De là j'ai découvert la musique et je passais déjà de longs moments face à l'instrument même si je n'y connaissais rien. C'était plutôt une occupation mais je ne me suis jamais forcé à prendre une guitare en main.
Q: Quelles étaient tes premières influences?
R: J'ai un frère et une soeur plus agés de trois ou quatre ans, alors mes influences ont été guidées par leurs gouts musicaux. Tous les jours, j'écoutais Deep Purple, Slade, Pink Floyd et la pop du début des années 70.
Q: Te souviens-tu de ton tout premier groupe?
R: Mon premier groupe était comme pour de nombreux musiciens, constitué de copains de lycée, à savoir un batteur et deux guitaristes. A cette époque, on ne voyait pas trop la necessité d'avoir un bassiste. Nous ne faisions bien sûr uniquement que des reprises: Status Quo, Deep Purple, Led Zep ...
Q: Comment se sont rencontrés les musiciens de Steel Angel?
R: J'ai rencontré Jean-Paul, le bassiste, en intégrant le groupe (rock) dans lequel il jouait, et nous avons très vite compris que ça manquait de rythme. En fait nous avions les memes envies de faire du hard. Ensuite il m'a fait rencontré Freddy, le batteur, qu'il connaissait depuis un moment . Nous sommes restés un long moment à trois et à cette époque, je connaissais High Power et leur soliste Eric qui travaillait avec Michel, notre futur guitariste. Eric me disait depuis un moment que l'on devrait jouer avec ce musicien. Dès son arrivée, Michel a transformé le groupe grace à sa technique qui était bien superieure à la mienne. Il ne nous manquait plus qu'un chanteur, et là aussi, nous avons eu la chance que Michel connaisse Patrice qui devint par la suite, notre chanteur.
Q: D'où vient le nom du groupe?
R: A Bordeaux, il y avait une tradition qui faisait qu'une grande partie des groupes locaux avaient leur nom qui commencaient par S T .(Standarts, Stilletos, Strychnine, Sto, Stalag, Stand By...) nous, c'est un pur hazard . C'est Michel et Pat qui ont trouvé ce nom, et nous l'avons tous adopté. C'est commun aujourd'hui mais à l'époque, ça sonnait bien, et plus tard on s'apercevra que le nom correspondait à l'image que l'on donnait sur scène: moitié ange, moitié heavy...
Q: A vos débuts, on vous a beaucoup rapproché musicalement d' High Power? Quels rapports entreteniez-vous avec eux?
R: Ca c'est une grande question. Il y avait une légère tension entre Patrick Malbos le chanteur d' High Power et Michel, notre guitariste. En fait, ils ne se connaissaient pas mais ne s'appréciaient pas trop: c'est comme ça... J'étais le voisin et copain de Patrick et nous nous entendions trés bien tous les deux. J'ai vécu des situations assez sympas avec lui... Par exemple, il y avait une légère ressemblance physique entre lui et moi et à la fin des concerts, les fans s'adressaient à moi croyant parler à Patrick et inversement. Je dois ajouter que High Power est le meilleur groupe francais que j'ai vu sur scene. J'ai été, comme beaucoup, marqué par la disparition de Jojo, leur batteur, et de Patrick, bien sûr. Le jour de son enterrement, quand je suis arrivé devant l'église, il y avait un nombre important de fans, et du fait de notre ressemblance, les gens m'ont regardé avec insistance, ce qui m'a troublé. Je garderai un tres bon souvenir amical et nostalgique de ce groupe.
Q: Vous participez vite à la compilation French Connection, comment aviez-vous été selectionnés?
R: Tout est venu d'une série d'évènements: d'abord, notre manager (Philippe Geneste, batteur d' Over Soul) est allé à Paris avec une démo de trois titres que nous venions d'enregistrer . Il est entré par hasard dans le magasin "Remi musique", et l'a fait écouter . Remy l'a donné à un journaliste d'Enfer Magazine, Chritian Vinot, qui a fait une tres bonne critique dans le mensuel. De là, la compilation et le premier album se sont très vite enchainés.
Q: Puis c'est la signature chez Devil's, que penses-tu de cette maison de disques?
R: A ce moment là, et à l'age que nous avions, nous étions tres contents d'être signés par une maison de disque. Devil's Record avait déjà signé d'autres groupes francais, plus connus que nous. En intégrant ce label, nous avions l'impression de mettre un pied dans la famille...
On peut dire bien des choses sur ce label, mais il aura permis à des groupes comme nous de se faire connaitre en France et au delà des frontières. Nous, musiciens, étions occupés par les problèmes de composition, de matériel...tout ce qui était contrat, argent, promotion etc...je ne m'en occupais pas. Ce serait différent aujourd'hui...
Q: Aviez-vous fait des démos avant l'enregistrement de l'album?
R: Oui, une seule de trois morceaux qui est recherchée aujourd'hui. Il y a deux morceaux inédits dont un, assez lourd, qui s'appelle "Spread your metal wings" (genre "Neon Night" d' Accept) que j'aimais beaucoup. Je ne sais plus pour qu'elle raison il ne figure pas sur l'album !!!
Q: Sur le premier album, le style du groupe est très fouillé, à tel point qu'il serait facile de faire plusieurs morceaux en un seul, qu'en penses-tu? Et comment se passait le travail de composition au sein du groupe?
R: Chaque groupe a une facon particulière de travailler. Chez nous, Michel ou moi amenions un projet de morceau, déjà bien avancé, et tout le groupe travaillait dessus. Ca, c'était pour la musique. Pat se chargeait de trouver la mélodie, et travaillait un texte en anglais qu'il nous soumettait ensuite.
Nos morceaux ont souvent la même trame: intro couplet refrain et surtout break . C'est sur ces passages que nous passions le plus de temps. C'est aussi sur scène le moment que nous préférions. Apres le break venait le solo et la fin.
Q: La pochette de ce premier album est superbe, qui s'en était chargé?
R: C'est le frère du copain qui faisait nos éclairages, un photographe, qui a eu l'idée de construire cet ange, et qui l'a photographié sous différentes lumières. Il est malheureusement décédé...
Q: Quelles ont été les répercutions de cet album en France et à l'étranger?
R: Le premier nous a permis de nous faire connaitre, surtout aprés la critique d' Enfer magazine, les gens étaient impatients de nous écouter . J'ai reçu des lettres d' Europe centrale, du Connecticut, d' Angleterre ...c'est valorisant que les gens apprécient et reconnaissent ton travail. Chaque album a été vendu à environ sept mille exemplaires. Je ne sais pas quoi penser de ces chiffres. Ce qui était important pour nous à cette époque c'était les concerts.
Q: Justement, comment se passaient vos concerts, c'était apparemment le point fort de Steel Angel...
R: C'est vraiment ce que j'aimais le plus.
Il y a deux sortes de concert: quand vous passez en première partie et quand vous passez en tete d'affiche. Il y a une différence, si vous passez en première partie, vous ne jouez pas longtemps, vous n'avez pas de place, évidemment le son est moins bon que celui du groupe qui passe apres etc...nous avons connu les deux.
Nous avions des tenues assez travaillées, notre manager qui aimait les Etats-Unis nous influençait pour que nous ayons ce look qui était à la mode (à ce moment-là) je pense qu'il y avait pas mal d'énergie sur scène, et pendant les morceaux lourds, nous jouions beaucoup sur les poses, les attitudes.
Chaque concert est différent et a sa propre ambiance. Bizarement c'est en dehors de Bordeaux que nous avons fait nos meilleures prestations. Nous n'aimions pas jouer chez nous. Le public, quand il vous a vu une fois, est moins surpris la seconde fois.
Q: Comparé à certains autres groupes français, il me semble que vous avez eu peu de soutien de la part de la presse spécialisée, qu'en penses-tu?
R: Il y a plusieurs raisons à cela: d'abord, nous n'étions pas parisiens et ça, c'était vraiment le plus gros handicap. Ensuite si les journalistes se tournaient vers la province, il y avait High Power qui occupait la place avant nous. Et il fallait des moyens que nous n'avions pas pour se faire connaitre encore plus. La production de nos albums n'a pas été fameuse. Je suis sur que si nous avions le son de l'album de Fisc, les retombées auraient été plus importantes.
Q: Je crois savoir que Steel Angel bénéficiait par contre d'un soutien assez étonnant en la personne du tennisman Haïtien Ronald Agénor. Comment aviez-vous fait sa rencontre? Et comment vous aidait-il?
R: Ronald était copain avec notre manager. Doué au tennis (c'est le seul joueur à avoir mis 6/0 à Lendl dans un set à Roland-Garros), il l'était également à la guitare. J'ai passé de longs moments avec lui dans notre local et il était doué, c'est certain. Quand il a vu que pour notre deuxième album, il nous manquait de l'argent, il n'a pas hésité à nous financer celui-ci.
Q: Pour le second album vous signez chez Syndey. Pourquoi avoir changé de maison de disques?
R: C'est notre manager qui s'est occupé de celà. Je ne sais plus les raisons de ce changement.
Q: Ce second opus est plus mélodique avec des constructions de morceaux plus "conventionnelles". Qu'en penses-tu et pourquoi un tel choix? comment s'est passé l'enregistrement de ce LP?
R: Je trouve le deuxième album vraiment différent du premier. Personnellement je trouve le deuxième moins "homogène" que le premier. Au moins il y en a pour tous les gouts... Quel dommage d'avoir un tel son. Nous étions partis à Paris avec l'idée que l'on aurait un son correct, hélas ça n'a pas été le cas. Il faut souvent que dans les productions francaises, le son soit enrobé de reverb ...c'est vrai que les ingenieurs du son francais découvraient ce style de musique. Avant Trust, il n'y a jamais eu de son saturé enregistré ou alors c'était des ingés étrangers qui enregistraient.
Q: En 1986 vous participez au Sun festival dans les arènes de Bayonne. Te souviens-tu de ce concert? Il me semble que votre prestation a été filmée, non?
R: Malgre le son pourri, le micro de la sono qui devait repiquer mon ampli avait été placé devant une enceinte vide et j'ai joué la moitié du concert sans retour en facade et sur scène,c'est notre meilleur souvenir. De nombreux fans avaient fait le déplacement et il y a eu une ambiance incroyable. Le concert a effectivement été filmé et je crois que des personnes sont en train de faire un montage et il sera peut-être visible bientot. Tres bon souvenir de nos rapports avec les autres groupes et en particulier Josuha avec qui nous rejouions quinze jours plus tard a Albi.
Q: La suite de l'histoire de Steel Angel est un peu floue, que s'est-il passé? Je crois que tu as quitté le groupe vers 1987?
R: J'ai annoncé mon départ au groupe a l'issue d'un concert que nous faisions a Agen. Le groupe m'a trouvé un remplacant et il ont fait quelques jours apres un concert a la Locomotive à Paris. C'est un de mes regrets de n'avoir pas jouer ce jour là, mais ma décision était prise. A l'issue de celui-ci le groupe s'est arrété.
Q: Qu'as-tu fait ensuite?
R: Coté musique, rien du tout, j'ai compensé par le sport. J'ai également fait trois enfants...pour la relève...
Q: As-tu gardé des liens avec les anciens membres du groupe? Sais-tu ce qu'ils sont devenus?
R: A part Freddy le batteur qui je crois est devenu moniteur d'escalade, je les ai tous revus. Coté musique, ils ont tous arreté sauf notre manager, Philippe qui était le batteur d'Over Soul et qui dirige maintenant l'organisation Bad Concert sur Bordeaux.
Q: Et toi, que fais-tu maintenant? Joues-tu toujours de la musique? Quels sont tes gouts musicaux aujourd'hui?
R: J'ai acheté à mon fils une guitare électrique il y a deux ans et bien sur le virus m'a repris. Je me suis acheté en début d' été un petit studio 8 pistes avec lequel j'ai enregistré sept morceaux (compos et reprises), depuis j'ai acheté un 24 pistes et un synthé mais je passe plus de temps à comprendre l'utilisation du matériel que de composer de nouveaux morceaux. J'ai découvert le heavy symphonique surtout Stratovarius, Edguy... etc c'est vers ce style que je compte me diriger. En fait j'aime tout ce qui est mélodique. J'ai eu un faible pour Hammerfall que j'ai vu deux fois en concert. J'ai discuté avec le chanteur et le soliste, ce sont de très bons musiciens et leurs compos si elles paraissent classiques sont tres bien faites. J'écoute aussi de la musique classique .
Q: Les 2 albums de Steel Angel sont devenus aujourd'hui "cultes" et se vendent à des prix parfois exhorbitants sur internet, qu'en penses-tu?
R: Je ne comprends pas...arrivent-ils à se vendre à ces prix, je ne sais pas. En tout cas c'est surprenant de voir cet engoument pour les groupes hard des années 80.
Q: Il existe une réédition CD pirate faite en Grèce des 2 Steel Angel, est-il envisageable que voit le jour une vraie réédition faite avec votre accord et avec pourquoi pas quelques inédits?
R: Je ne pense pas, les bandes doivent être difficile à retrouver mais on ne sait jamais...
Q: Que penses-tu des reformations actuelles de groupes comme ADX, Blaspheme ou Demon Eyes? Pourrait-on voir un jour une reformation de Steel Angel même pour un unique concert (comme Square)?
R: Non c'est impossible, il y a trop de problèmes à régler pour remonter le groupe. Les autres groupes qui se reforment n'ont sans doute jamais totalement délaissé les instruments. C'est tres bien de pouvoir le faire, j'aurais aimé mais on ne peut pas tout faire.
Q: Enfin, quels sont tes meilleurs souvenirs de cette épopée?
R: Le jour ou j'ai vu mon disque en vente dans les bacs et un mois après quand le patron du plus grand magasin de disques de bordeaux nous a fait voir les classements des ventes. Nous nous trouvions en tres bonne position, et là ça fait quelque chose. Et d'un point de vue général sur cette époque, il y avait a Bordeaux un nombre incroyable de groupes et à chaque concert, nous nous retrouvions tous dans une bonne ambiance. Dans toutes les caves, il y avait un groupe qui répétait. Et le sommum fut la première fête de la musique. Là, c'était incoyable de voir Noir Désir (avec qui j'avais joué quelques temps) cotoyer High Power et Partenaire Particulier jouant dans la meme rue! Maintenant l'esprit de cette fête a complètement disparu...
Q: Je te laisse le mot de la fin...
R: Nous avons eu la possibilité de faire quelques pas dans ce milieu très fermé. La mode actuelle est à la nostalgie de ces groupes des années 80, c'est peut-être qu'il y avait quelque chose de positif, de créatif dans notre musique. Avec toutes les émissions de télé-réalité ou l'on vous propulse star sans que vous n'ayez jamais rien fait, il y a un manque certain de créativite. Le public est pourtant demandeur. Il n'a pas d'autre choix que se tourner vers le passé. On le voit dans tous les styles de musique, l'été sur les plages, il n'y a que des morceaux anciens, rétros pour certains. J'ai donc repris ma guitare et peut-etre que l'inspiration reviendra...
mercredi, octobre 10, 2007
"Hard Rock" par Christian Eudeline (livre)
Auto-proclamé "premier ouvrage en français sur le Hard rock" (c'est oublier un peu vite les livres d'Hervé Picart au milieu des années 80 ou le récent bouquin de Denis Protat), voici un nouveau livre sur l'histoire de notre musique préférée. Bonne nouvelle me direz-vous, belle présentation, chouette iconographie et pour ne rien gacher il y a même quelques pages sur les groupes français!
Que demander de plus? Ben....un peu de rigueur, bordel!!!!
Les deux pages traitant du hard rock français des années 80 (je ne parlerai que de ces pages, n'ayant pas encore lu le reste de l'ouvrage) sont pleines de bourdes: "Patrick" Diamond qui arrive dans H-Bomb pour l'album Attaque, Zouille qui a la même voix que Balavoine (le cas Sortilège, unanimement reconnu comme étant le meilleur groupe de heavy metal français des 80's, étant reglé en 3 lignes), Christophe Aubert obligé de jouer avec Hallyday pour "survivre" après le split de Warning (le pauvre, il doit se retourner dans sa tombe) et le summum, vous l'ignoriez surement: Vulcain n'a fait qu'un album pendant ses 20 ans de carrière et il s'appelle L' Agression! (tiens, ça me dit quelque chose...). Ne cherchez pas dans votre discothèque, vous ne l'avez pas celui-là!!
Enfin, l'intention était louable mais le résultat n'est rien que du foutage de gueule, un minimum de recherches ou de relecture aurait surement corrigé ces fautes qui sont impardonables dans un livre qui se veut sérieux!
Quand je pense au bouquin sur le hard rock français de Christophe Bailet qui ne trouve aucun éditeur en France....au fait, y-a-t-il des éditeurs dans le coin????
Que demander de plus? Ben....un peu de rigueur, bordel!!!!
Les deux pages traitant du hard rock français des années 80 (je ne parlerai que de ces pages, n'ayant pas encore lu le reste de l'ouvrage) sont pleines de bourdes: "Patrick" Diamond qui arrive dans H-Bomb pour l'album Attaque, Zouille qui a la même voix que Balavoine (le cas Sortilège, unanimement reconnu comme étant le meilleur groupe de heavy metal français des 80's, étant reglé en 3 lignes), Christophe Aubert obligé de jouer avec Hallyday pour "survivre" après le split de Warning (le pauvre, il doit se retourner dans sa tombe) et le summum, vous l'ignoriez surement: Vulcain n'a fait qu'un album pendant ses 20 ans de carrière et il s'appelle L' Agression! (tiens, ça me dit quelque chose...). Ne cherchez pas dans votre discothèque, vous ne l'avez pas celui-là!!
Enfin, l'intention était louable mais le résultat n'est rien que du foutage de gueule, un minimum de recherches ou de relecture aurait surement corrigé ces fautes qui sont impardonables dans un livre qui se veut sérieux!
Quand je pense au bouquin sur le hard rock français de Christophe Bailet qui ne trouve aucun éditeur en France....au fait, y-a-t-il des éditeurs dans le coin????
lundi, octobre 08, 2007
France Metal Museum
Complément indispensable de ce blog pour les 3 ou 4 qui ne viennent pas ici que pour télécharger gratuitement (à ce propos j'ai ouï dire que certains se permettaient même de revendre ce qu'il viennent prendre ici...sans dire merci bien entendu!), bref, voilà enfin LE site (concocté par notre ami Duby) sur les groupes de hard et de heavy français des années 80 avec biographies, discographies, témoignages, interviews etc..
Tears - Demo 2 titres (1990)
Rarissime et inédite démo des très controversés TEARS! Souvenez vous... Charisme ravageur, mise au point fédératrice!
C'était la fin des années 80, les soirées sleaze, le règne du glam, sex drugs and rock n'roll, trop cool quoi!!!!
La démo dont sont tirés ces 2 extraits avait été faite pour Jaimie Stewart, alors bassiste de The Cult, qui devait produire l'album de Tears. Celui-ci ne verra malheureusement jamais le jour et c' est bien dommage vu l'indéniable qualité de ces 2 morceaux! Régalez-vous!!!!!
01 titre inconnu
02 titre inconnu
http://rapidshare.com/files/61154690/TeArS90.rar
samedi, octobre 06, 2007
Jumper Lace - Living road (video)
JUMPER LACE "Living road" - kewego
Produit en 1990 par FR3 Aquitaine, filmée sur TV. Un morceau présent sur l'album mais en version légèrement différente. Mix blues'n'lace et living road.... rare
Produit en 1990 par FR3 Aquitaine, filmée sur TV. Un morceau présent sur l'album mais en version légèrement différente. Mix blues'n'lace et living road.... rare
Merci à Chris Chambers!!!
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